Voilà une bienheureuse découverte ! Tout droit en provenance de son Maquoteka natal, dans l’Iowa, Caleb Tyler Engstrom vient sans aucun doute, du haut de ses vingt ans, de sortir l’un des albums les plus attachants de cette année. d’une voix sucrée qui n’est pas sans rappeler celle d’un Chris Martin (Coldplay) qui sévirait dans […]
Voilà une bienheureuse découverte ! Tout droit en provenance de son Maquoteka natal, dans l’Iowa, Caleb Tyler Engstrom vient sans aucun doute, du haut de ses vingt ans, de sortir l’un des albums les plus attachants de cette année.
d’une voix sucrée qui n’est pas sans rappeler celle d’un Chris Martin (Coldplay) qui sévirait dans le registre du song-writing hérité d’un Nick Drake, il nous dévoile de simples mélodies de guitares que des lucioles électroniques viennent habiller de leurs bruissements d’ailes.
Des arpèges, parfois quelques nappes ouatées, de légers arrangements de cordes, un glockenspiel, une voix féminine ou des ch?urs discrets, la production est subtile et se fait parfois aventureuse comme sur la fin décousue de Screeching Bugs. Le reste n’est que petit bijou d’orfèvrerie.
La mélancolie de ce « Building Day One » ne fait qu’illustrer la sincérité d’âme de Caleb Engstrom, sa beauté sans artifices et, malgré son jeune âge, marquée par le poids des années. Il nous parle avec ses tripes sans pour autant les déballer sur la table. Un sens de la mesure tout à fait remarquable !
- Publication 202 vues17 septembre 2005
- Tags Caleb EngstromRight Place
- Partagez cet article
