Derrière ce nom suspect se cache une formation rock bretonne en suractivité. Formé en 2000, ce power trio de Vannes a écumé la Bretagne de fond en comble pour distiller son rock teinté d’électro. Armés de deux EP (un trois titres studio et un deux titres live), le groupe mise tout sur le live. Hijodata expie ses […]
Derrière ce nom suspect se cache une formation rock bretonne en suractivité. Formé en 2000, ce power trio de Vannes a écumé la Bretagne de fond en comble pour distiller son rock teinté d’électro. Armés de deux EP (un trois titres studio et un deux titres live), le groupe mise tout sur le live. Hijodata expie ses douleurs à grands coups de guitare, larsens, fuzz et autres effets plus ou moins bien venus. Si ce EP cache quelques bonnes idées ( l’électro de Dans son monde, le riff pixien de Le dernier objectif ), on regrettera le chant pas toujours bien dosé qui vient nuire à des mélodies assez convaincantes. Complainte abusive, J’ai perdu la lune prouve que le trio doit se contenter de faire ce qu’il maîtrise le mieux : un rock français dans la droite lignée de Luke.