Nous savons depuis longtemps que la scène bordelaise est très active. Nous n’allons donc pas profiter de cette nouvelle chronique pour en énumérer ses principaux acteurs. Non, dans cette nouvelle chronique il est question d’un nouveau trio, originaire de cette ville, qui porte le doux nom d’Alba Lua. Nouveau, nous ne savons pas si c’est […]

Nous savons depuis longtemps que la scène bordelaise est très active. Nous n’allons donc pas profiter de cette nouvelle chronique pour en énumérer ses principaux acteurs. Non, dans cette nouvelle chronique il est question d’un nouveau trio, originaire de cette ville, qui porte le doux nom d’Alba Lua. Nouveau, nous ne savons pas si c’est le cas. En effet nous savons très peu de choses sur ces trois garçons. Même leurs noms que nous connaissons ; Pepo Durantez, Pascal Hoerner et Renoi Jacob Mathieu, sonnent faux.

En même temps ce n’est pas grave, nous n’avons pas besoin d’informations, ce qui compte c’est leur musique et sur ce point nous sommes sûr d’une chose : c’est beau. C’est le genre de mélodies qui ressemblent à un doux rêve sans fin. On a l’impression d’être transporté au-delà de l’inconscient.

Musicalement le bouton de réverbération semble être bloqué au maximum. Les arpèges de guitares sont accrocheurs et deviennent vite entêtants. Enfin la voix du chanteur, sensible comme la voix d’un enfant s’avère aussi enivrante qu’une drogue douce. Niveau ambiance on est proche du Velvet Underground ou plus récemment de Beach House, une sorte de dream pop injectée de folk psyché.
En tout cas ces trois titres laissent songeur pour la suite en espérant que ce doux rêve devienne réalité avec la sortie prochaine d’un album.

• Publication 274 vues28 octobre 2010
• Tags Alba LuaSatellite Of Love
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