La Première chose qui frappe quand on découvre Montana c’est l’artwork très soigné : une pochette pop art pour un groupe qui fait dans l’art pop. Car c’est bien de pop, de power pop plus précisément qu’il s’agit lorsque l’on parle de ce combo australien. Le groupe s’inscrit dans la tradition d’un Weezer ou encore […]
La Première chose qui frappe quand on découvre Montana c’est l’artwork très soigné : une pochette pop art pour un groupe qui fait dans l’art pop. Car c’est bien de pop, de power pop plus précisément qu’il s’agit lorsque l’on parle de ce combo australien. Le groupe s’inscrit dans la tradition d’un Weezer ou encore d’un Farrah dont il partage la bassiste Michelle Margherita.
Celle-ci se retrouve également au chant sur quelques titres comme « Towtruck » où pour notre plus grand plaisir elle apporte toute sa fraicheur à des mélodies pop très accrocheuses.
Paul Scott n’est pas en reste, le guitariste chanteur signe treize des quinze titre et se paye le luxe de nous captiver tout au long de ce « Bumbblegum love » où on ne s’ennuie pas une seconde. C’est donc mission accomplie pour Montana : comment résister à l’envie de bouger, de chanter à l’écoute de titres tels que « polyester cat » ou « bubble in the boy ». Et même lorsque le tempo ralenti comme sur « She works in a shop » la magie opère et on se laisse entrainer sans mal dans cette magnifique ballade.
Alors bien sûr les amateurs de mélodies complexes et d’arrangements fouillés passeront leur chemin. Les autres, recherchant avant tout une musique directe faite de mélodies simples et de refrains accrocheurs tomberont très certainement sous le charme de Montana.
- Publication 594 vues11 juin 2004
- Tags MontanaPolaris Music
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