Dans son précédent album, le duo anglo-slovène célébrait dans un songe bucolique, les créatures merveilleuses que la forêt abrite? Toujours dominé par la guitare acoustique de Paul Bradbury, l’univers de Pinknruby évolue. Si l’on pense encore parfois aux Cocteau Twins, l’ensemble prend régulièrement des teintes brésiliennes qui ont de quoi surprendre mais pas forcément de […]
Dans son précédent album, le duo anglo-slovène célébrait dans un songe bucolique, les créatures merveilleuses que la forêt abrite? Toujours dominé par la guitare acoustique de Paul Bradbury, l’univers de Pinknruby évolue. Si l’on pense encore parfois aux Cocteau Twins, l’ensemble prend régulièrement des teintes brésiliennes qui ont de quoi surprendre mais pas forcément de quoi séduire. Leur folk, qui baigne dans la douceur et une certaine quiétude, s?éloigne dangereusement de la féerie, pour un résultat plutôt lisse. Si les évolutions sont nécessaires, elles ne se font pas toutes pour le meilleur. Malgré un très joli White Lady Mirror, cet album en est malheureusement un exemple.
- Publication 260 vues16 avril 2006
- Tags PinknrubyPrikosnovénie
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