l’Orient fascine les six nantais de Zmiya et, à l’instar d’un Orange Blossom, d’un JMPZ ou d’un Kaophonic Tribu, ils tentent la fusion avec une culture dub et electro. Une flûte charmeuse de serpent, du didjeridoo, du balafon, du djembe se mélangent aux machines pour nous envoûter ou plutôt pour tenter de nous envoûter. En […]
l’Orient fascine les six nantais de Zmiya et, à l’instar d’un Orange Blossom, d’un JMPZ ou d’un Kaophonic Tribu, ils tentent la fusion avec une culture dub et electro. Une flûte charmeuse de serpent, du didjeridoo, du balafon, du djembe se mélangent aux machines pour nous envoûter ou plutôt pour tenter de nous envoûter. En effet, la voix made in France qui, en anglais, essaie de s’approprier certains exotismes dans les intonations, comme sur Terra Nova, ainsi que certains clichés dans la construction des morceaux ou les sonorités font que cet album qui partait pourtant sur de bonnes bases et un fort potentiel, se révèle au final relativement décevant?
- Publication 299 vues6 novembre 2005
- Tags ZmiyaPrikosnovénie
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