Si son nom est personne, plus en hommage au « Dead Man » de Jarmush qu’au film de Sergio Leone et Tonino Valerii avec Terence Hill et Henry Fonda, le nantais Vincent Dupas reste indéniablement marqué par la musique et plus largement la culture américaine. Piano, guitare, avec son premier album au nom surréaliste, « I hope […]

Si son nom est personne, plus en hommage au « Dead Man » de Jarmush qu’au film de Sergio Leone et Tonino Valerii avec Terence Hill et Henry Fonda, le nantais Vincent Dupas reste indéniablement marqué par la musique et plus largement la culture américaine.
Piano, guitare, avec son premier album au nom surréaliste, « I hope you’re well, I am and I send you my fingers », il promène ses ballades americana/folk dans les roman de John Fante, les films d’Ethan et Joel Coen, les albums de Johnny Cash, de Will Oldham version Palace Brothers voire A Silver Mt Zion le temps de The Greatest Mistake?

Un ensemble dépaysant qui donne envie de goûter le vin de la jeunesse, le temps au moins d’un voyage sur la route de Los Angeles… et sans doute un peu plus car affinités !

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• Publication 387 vues17 juin 2006
• Tags My Name Is NobodyEffervescence
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